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 Asunto: Re: CONFESIONES
NotaPublicado: 07 Sep 2017 20:37 
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Floria Muy Tosca escribió:
Milord Cachuete, los personajes de Così... son un poco caricaturescos y Don Alfonso especialmente. El tema de la guerra de sexos se toca en varias óperas de Mozart con mayor o menor intensidad. Tampoco se queda atrás el "Aprite un po'quegli occhi" de Las Bodas... que, por cierto, no aparece en la obra de teatro de Beaumarchais sino que se lo inventó Da Ponte para salvar la censura. Lo que dice el Fígaro de la obra de teatro es demasiado revolucionario. Como mujer, me parece mucho más ofensiva "La dona é mobile" que eso no es una comedia.

Completamente de acuerdo con Verdi.

Pardon, pardon mais...Le voilà! Acto V, Le mariage de Figaro ou La folle journée; es bien cierto que Da Ponte-Mozart aligeraron bastante discurso que había llevado a la prohibición de la obra de Beaumarchais (otro, mismamente es el rechazo brutal de la madre de Figaro por Bartolo, lo que desata un verdadero alegato para la época), pero lo ofrecieron de otra manera.
Sí, sí existe y, en parte, se comprende el dolor del pobre criado como un desahogo brutal ante la terrible prueba: su amada Suzon se verá con el Conde.

Ô femme ! femme ! femme ! créature faible et décevante !… nul animal créé ne peut manquer à son instinct : le tien est-il donc de tromper ?… Après m’avoir obstinément refusé quand je l’en pressais devant sa maîtresse ; à l’instant qu’elle me donne sa parole ; au milieu même de la cérémonie… Il riait en lisant, le perfide ! et moi, comme un benêt…
Non, monsieur le comte, vous ne l’aurez pas… vous ne l’aurez pas. Parce que vous êtes un grand seigneur, vous vous croyez un grand génie !… noblesse, fortune, un rang, des places, tout cela rend si fier ! Qu’avez-vous fait pour tant de biens ? vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus : du reste, homme assez ordinaire ! tandis que moi, morbleu, perdu dans la foule obscure, il m’a fallu déployer plus de science et de calculs pour subsister seulement, qu’on n’en a mis depuis cent ans à gouverner toutes les Espagnes ; et vous voulez jouter !… On vient… c’est elle… ce n’est personne. — La nuit est noire en diable, et me voilà faisant le sot métier de mari, quoique je ne le sois qu’à moitié ! (Il s’assied sur un banc.) Est-il rien de plus bizarre que ma destinée ! Fils de je ne sais pas qui ; volé par des bandits ; élevé dans leurs mœurs, je m’en dégoûte et veux courir une carrière honnête ; et partout je suis repoussé ! J’apprends la chimie, la pharmacie, la chirurgie ; et tout le crédit d’un grand seigneur peut à peine me mettre à la main une lancette vétérinaire ! — Las d’attrister des bêtes malades, et pour faire un métier contraire, je me jette à corps perdu dans le théâtre : me fussé-je mis une pierre au cou ! Je broche une comédie dans les mœurs du sérail : auteur espagnol, je crois pouvoir y fronder Mahomet sans scrupule : à l’instant un envoyé… de je ne sais où se plaint que j’offense dans mes vers la Sublime Porte, la Perse, une partie de la presqu’île de l’Inde, toute l’Égypte, les royaumes de Barca, de Tripoli, de Tunis, d’Alger et de Maroc ; et voilà ma comédie flambée, pour plaire aux princes mahométans, dont pas un, je crois, ne sait lire, et qui nous meurtrissent l’omoplate, en nous disant : Chiens de chrétiens ! — Ne pouvant avilir l’esprit, on se venge en le maltraitant. — Mes joues creusaient, mon terme était échu : je voyais de loin arriver l’affreux recors, la plume fichée dans sa perruque ; en frémissant je m’évertue. Il s’élève une question sur la nature des richesses ; et comme il n’est pas nécessaire de tenir les choses pour en raisonner, n’ayant pas un sou, j’écris sur la valeur de l’argent, et sur son produit net : aussitôt je vois, du fond d’un fiacre, baisser pour moi le pont d’un château-fort, à l’entrée duquel je laissai l’espérance et la liberté. (Il se lève.) Que je voudrais bien tenir un de ces puissants de quatre jours, si légers sur le mal qu’ils ordonnent, quand une bonne disgrâce a cuvé son orgueil ! Je lui dirais… que les sottises imprimées n’ont d’importance qu’aux lieux où l’on en gêne le cours ; que, sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur ; et qu’il n’y a que les petits hommes qui redoutent les petits écrits. (Il se rassied.) Las de nourrir un obscur pensionnaire, on me met un jour dans la rue ; et comme il faut dîner, quoiqu’on ne soit plus en prison, je taille encore ma plume, et demande à chacun de quoi il est question : on me dit que, pendant ma retraite économique, il s’est établi dans Madrid un système de liberté sur la vente des productions, qui s’étend même à celles de la presse ; et que, pourvu que je ne parle en mes écrits ni de l’autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l’Opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l’inspection de deux ou trois censeurs. Pour profiter de cette douce liberté, j’annonce un écrit périodique, et, croyant n’aller sur les brisées d’aucun autre, je le nomme Journal inutile. Pou-ou ! je vois s’élever contre moi mille pauvres diables à la feuille : on me supprime, et me voilà derechef sans emploi ! — Le désespoir m’allait saisir ; on pense à moi pour une place, mais par malheur j’y étais propre : il fallait un calculateur, ce fut un danseur qui l’obtint. Il ne me restait plus qu’à voler ; je me fais banquier de pharaon : alors, bonnes gens ! je soupe en ville, et les personnes dites comme il faut m’ouvrent poliment leur maison, en retenant pour elles les trois quarts du profit. J’aurais bien pu me remonter ; je commençais même à comprendre que, pour gagner du bien, le savoir-faire vaut mieux que le savoir. Mais comme chacun pillait autour de moi, en exigeant que je fusse honnête, il fallut bien périr encore. Pour le coup je quittais le monde, et vingt brasses d’eau m’en allaient séparer lorsqu’un dieu bienfaisant m’appelle à mon premier état. Je reprends ma trousse et mon cuir anglais ; puis, laissant la fumée aux sots qui s’en nourrissent, et la honte au milieu du chemin, comme trop lourde à un piéton, je vais rasant de ville en ville, et je vis enfin sans souci. Un grand seigneur passe à Séville ; il me reconnaît, je le marie ; et pour prix d’avoir eu par mes soins son épouse, il veut intercepter la mienne ! Intrigue, orage à ce sujet. Prêt à tomber dans un abîme, au moment d’épouser ma mère, mes parents m’arrivent à la file. (Il se lève en s’échauffant.) On se débat : C’est vous, c’est lui, c’est moi, c’est toi ; non, ce n’est pas nous : eh ! mais, qui donc ? (Il retombe assis.) Ô bizarre suite d’événements ! Comment cela m’est-il arrivé ? Pourquoi ces choses et non pas d’autres ? Qui les a fixées sur ma tête ? Forcé de parcourir la route où je suis entré sans le savoir, comme j’en sortirai sans le vouloir, je l’ai jonchée d’autant de fleurs que ma gaieté me l’a permis ; encore je dis ma gaieté, sans savoir si elle est à moi plus que le reste, ni même quel est ce moi dont je m’occupe : un assemblage informe de parties inconnues ; puis un chétif être imbécile, un petit animal folâtre, un jeune homme ardent au plaisir, ayant tous les goûts pour jouir, faisant tous les métiers pour vivre, maître ici, valet là, selon qu’il plaît à la fortune ; ambitieux par vanité, laborieux par nécessité, mais paresseux… avec délices ! orateur selon le danger, poète par délassement ; musicien par occasion, amoureux par folles bouffées, j’ai tout vu, tout fait, tout usé. Puis l’illusion s’est détruite, et, trop désabusé… Désabusé… ! Suzon, Suzon, Suzon ! que tu me donnes de tourments !… J’entends marcher… on vient. Voici l’instant de la crise.
Se lo agradezco, signora Floria Tosca. Es bellísimo y apasionado.

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"Empia razza, anatema su voi!La vendetta scenderà!"


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 Asunto: Re: CONFESIONES
NotaPublicado: 07 Sep 2017 20:49 
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Despinetta escribió:
Dufol escribió:
1. Confieso que aún no he digerido que la flauta mágica eliminara a "La Traviata" -que gran Alfredo fue don Alfredo-.

2. Y confieso que en otras circunstancias me hubiera divertido que la quinta columna mozartiana con el apoyo de algún strausiano y no si de algún wagneriano (dudo porque al parecer los wagnerianos son muy suyos) nos pitaran la cara a verdianos, veritas , bel cantistas, italianos...

1. Ya, pero no estaba ése en la liza.
2. ¡Abyecto italianófilo! Tutte le torture della vendetta degli dei infernali cada su voi!
¿Ya se queda tranquilo? :lol:


1 Asi fué.
2 Mea culpa.
Si. Siempre a sus pies.


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 Asunto: Re: CONFESIONES
NotaPublicado: 07 Sep 2017 21:23 
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Ubicación: Costasoleña.
Dufol escribió:
1. Ya, pero no estaba ése en la liza.
2. ¡Abyecto italianófilo! Tutte le torture della vendetta degli dei infernali cada su voi!
¿Ya se queda tranquilo? :lol:


1 Asi fué.
2 Mea culpa.
Si. Siempre a sus pies.[/quote]
:rolling:
https://www.google.es/search?client=fir ... 1y_kKH3BUM:

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 Asunto: Re: CONFESIONES
NotaPublicado: 07 Sep 2017 22:20 
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https://www.google.es/search?client=fir ... 1y_kKH3BUM

:reverencia:

Elegiría Mogambo pero firmaria cualquiera.


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 Asunto: Re: CONFESIONES
NotaPublicado: 08 Sep 2017 1:48 
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lord cacahuete escribió:
Yo creo que en todos esos roles hay cantantes posteriores que lo han hecho igual de bien o mejor que Kraus. Incluso en su afamado papel en Werther, pues Beczala (Liceu, este enero de 2017) me pareció sublime, mejor que las (grabaciones) de Kraus.

Como dice usted que es joven, habrá que echarle la culpa a la ESO :( .
Lo que tiene más delito es elegir a Beczala para comparar. ¿No había otro un poquito más sandunguero?...

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 Asunto: Re: CONFESIONES
NotaPublicado: 08 Sep 2017 7:35 
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Rupert de Hentzau escribió:
lord cacahuete escribió:
Yo creo que en todos esos roles hay cantantes posteriores que lo han hecho igual de bien o mejor que Kraus. Incluso en su afamado papel en Werther, pues Beczala (Liceu, este enero de 2017) me pareció sublime, mejor que las (grabaciones) de Kraus.

Como dice usted que es joven, habrá que echarle la culpa a la ESO :( .
Lo que tiene más delito es elegir a Beczala para comparar. ¿No había otro un poquito más sandunguero?...


Sr. de Hentzau, vamos por partes, que una cosa es Beczala y otra la ESO.

Sobre el primero, aquí le pego la crítica de "Opera World" donde le consideran "el mejor Werther de la actualidad, incluido Kaufmann", a raíz de su éxito en el Liceu (enero 17). Ya sabe que tuvo que bisar, el teatro se venía abajo de aplausos y toda la prensa especializada en ópera es unánime de que estamos ante un gran intérprete de ese rol.

http://www.operaworld.es/piotr-beczala- ... del-liceu/

Sobre la ESO. Vamos ver. En el bachillerato antiguo no se estudiaba nada de música, al menos en la rama masculina (había educación segregada por sexos en España). Se suponía que "el piano era cosa de señoritas, y que los hombres iban para ingenieros". Pienso (yo no cursé la ESO) que hoy se estudia más música en los colegios que hace años y años, pero bueno, no soy experto en sistemas educativos y quizá haya foreros que nos puedan ilustrar.

Saludos


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 Asunto: Re: CONFESIONES
NotaPublicado: 08 Sep 2017 9:10 
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Pues yo hice la EGB (fui de los últimos) y en mi clase había chicas, o eso recuerdo, porque fui bastante invisible para ellas :lol:

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 Asunto: Re: CONFESIONES
NotaPublicado: 08 Sep 2017 9:26 
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No sólo en EGB, en preescolar también había chicas en clase. De hecho, yo me casé con una en el recreo con 5 añitos. :lol:
Se llamaba Mercedes. Se puso un plástico a modo de velo y otro niño hizo de cura.

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"El canto como la belleza que se convierte en verdad" (Friedrich Schiller)


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 Asunto: Re: CONFESIONES
NotaPublicado: 08 Sep 2017 9:33 
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La verdad es que la salida de Lord Peanut ha servido para que Mr. Tunner se ponga cabreado como un niño chico, lo cual siempre es entretenido, pero como mensaje rivaliza con el de Callas y su voz de grillo (un saludo, Herr wotan74) en la lista de las mayores mamarrachadas escritas en un foro de ópera.

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 Asunto: Re: CONFESIONES
NotaPublicado: 08 Sep 2017 10:03 
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En la ESO (tengo 24 años y la tengo más o menos reciente), la música que se estudia es un chiste. Una suerte de Historia de la Música muy, muy somera. Eso sí, todos a tocar la flauta dulce.

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D'un poeta non disprezzate il detto


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 Asunto: Re: CONFESIONES
NotaPublicado: 08 Sep 2017 10:07 
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Mensajes: 14383
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Con eso, estimado doctor, también nos torturaban a nosotros :roll:

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 Asunto: Re: CONFESIONES
NotaPublicado: 08 Sep 2017 10:09 
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lord cacahuete escribió:
Acabo de descubrir este hilo donde pueden confesarse cosas inconfesables. Bien, bien...

Pues les confieso, damas y caballeros, que Alfredo Kraus me gusta más cantando zarzuela que cantando ópera. De hecho, cuando le oigo cantar "La donna e mobile" siempre pienso que se ha escapado de "Doña Francisquita", que es donde debe estar.

Ya está dicho, y espero que los krausistas (de Kraus, no los de Krause) no me lapiden demasiado!

Saludos


Es el precio que hay que pagar por intentar quedar en exceso original, caer por efectos secundarios en la arlequinada. Es un hilo muy fino "Don cacahuete".


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 Asunto: Re: CONFESIONES
NotaPublicado: 08 Sep 2017 10:10 
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Yo soy de EGB, BUP y COU y tuve cuatro años de música, el último fue Historia de la Música. Los anteriores, solfeo e instrumento.
Aún conservo mi melódica. La flauta, no.

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Gran Duque de Seychelles.


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 Asunto: Re: CONFESIONES
NotaPublicado: 08 Sep 2017 10:21 
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Registrado: 17 Feb 2010 23:50
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Ubicación: Calle Mossén Femades
El ladrillaco en francés de Despinetta es inmoderable.
Pero confiamos en ella.
También confío en que los apodos de apodos vayan puliéndose hasta hacerse simpáticos y relajen un poco el debate.

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Gran Duque de Seychelles.


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 Asunto: Re: CONFESIONES
NotaPublicado: 08 Sep 2017 10:30 
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Registrado: 07 May 2005 19:12
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En mi época de la primera comunión, que fue a principios de los años 60, ni chicas, ni música, ni flautas....., Mucha misa, confesión, comunión y procesión, algún estado de excepción #-o , y posteriormente la tan celebre F.E.N. en el Insti, además de aprenderte de memoria por los siglos de los siglos, la lista de los reyes godos, los clásicos de la literatura e infinidad de textos literarios :smoking: . Pero de chicas y música, nada de nada. Por radio, las retransmisiones desde el Liceo de Barcelona, con el inolvidable Juan Lluch y sus entrevistas a cantantes en los descansos pertinentes.


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