Qué poco tenemos de Weill, Kurt Weill
http://www.youtube.com/watch?v=Nyqq_L5x1coYoukali' por Brigitte Fassbaender
o mejor esta por la Stratas:
http://www.youtube.com/watch?v=gHlIHyOg ... ature=fvwp'
en français
Roger Fernay, Kurt Weill, 1934
C'est presque au bout du monde
Ma barque vagabonde
Errant au gré de l'onde
M'y conduisit un jour
L'île est toute petite
Mais la fée qui l'habite
Gentiment nous invite
A en faire le tour
Youkali, c'est le pays de nos désirs
Youkali, c'est le bonheur, c'est le plaisir
Youkali, c'est la terre où l'on quitte tous les soucis
C'est dans notre nuit
Comme une éclaircie
L'etoile qu'on sui,
C'est Youkali!
Youkali, c'est le respect de tous les voeux échangés
Youkali, c'est le pays des beaux amours partagés
C'est l'espérance
Qui est au coeur de tous les humains
La déliverance
Que nous attendons tous pour demain
Youkali, c'est le pays de nos désirs
Youkali, c'est le bonheur, c'est le plaisir
Mais c'est un rêve, une folie
Il n'y a pas de Youkali!
Mais c'est un rêve, une folie
Il n'y a pas de Youkali!
Et la vie nous entraîne
La sente quotidienne
Mais la pauvre âme humaine
Cherchant partout l'oubli
A pour quitter la terre
Su trouver la mystère
Où nos rêves se terrent
En quelque Youkali
Youkali, c'est le pays de nos désirs
Youkali, c'est le bonheur, c'est le plaisir
Youkali, c'est la terre où l'on quitte tous les soucis
C'est dans notre nuit
Comme un éclaircie
L'étoile qu'on suit
C'est Youkali!
Mais c'est un rêve, une folie
Il n'y a pas de Youkali!
Mais c'est un rêve, une folie
Il n'y a pas de Youkali!
(Roger Fernay - Kurt Weill)
Al fin de casi todo
mi barca vagabunda
mecida por las olas
con fuerza me arrastró…
La isla misteriosa
la que soñamos todos
parece que te invita
a entrar en su interior.
Youkali, es el país que alguien soñó
Youkali, es donde se inventó el color
Youkali, en su frontera se detuvo el dolor
en la oscuridad es rayo de luz
la estrella seguí, Youkali.
Es lo mejor que guardamos en el corazón
la libertad que soñaste tanto acariciar.
Es tan real como soñar
no existe tal, Youkali.
Y la vida nos lleva
cansada cotidiana
por un valle de lágrimas
que deja escapar…
Dejándonos el alma
por todos los rincones
dejándonos jirones
soñando por soñar.
(1935)